mercredi 28 décembre 2011

Noël : Quand s'en est-on réjouis pour la première fois ? - Journal Chrétien

Noël : Quand s'en est-on réjouis pour la première fois ? - Journal Chrétien
Noël : Quand s’en est-on réjouis pour la première fois ?

Noël VS l’Avortement.

mardi 27 décembre 2011, par Stéphane Ggné

RESEAU SOCIAL CHRETIEN FRANCOPHONE

Voir en ligne : Réseau Chrétien de la Société Québécoise.

La vision chrétienne de Noël nous rappelle pourquoi les chrétiens considèrent l’avortement comme un meurtre. Noël, la commémoration de la naissance du Sauveur du monde est en effet la plus belle nouvelle qui soit : Dieu le Père nous a donné son fils, le sauveur qu’il avait promis. Mais quand exactement ce don a-t-il été célébré pour la toute première fois  ?

L’évangile de Luc nous raconte qu’au jour de la naissance de Jésus, un ange apparut à des bergers de la contrée de Bethléhem et leur a dit : « Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.

Et voici à quel signe vous le reconnaitrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche. » (Luc 2:10 -12).

Cependant il est intéressant de constater que le chapitre précédent de l’évangile de Luc montre clairement que dès sa conception, alors qu’il était encore dans le sein maternel, Jésus était déjà le Sauveur oint de Dieu, auquel réagit Jean (Baptiste) alors que ce dernier était lui aussi dans le ventre de sa propre mère, et qu’il tressaillit d’allégresse dans la présence de Jésus. Celui qui plus tard sera appelé Jean le Baptiste fut en quelque sorte le premier à se réjouir de la présence du fils de Dieu déjà arrivé sur terre, bien que n’étant pas encore passé par l’accouchement. À partir du verset 41 du premier chapitre du livre de Luc, on lit au sujet d’Élizabeth, la mère de Jean : « Dès qu’Élizabeth entendit la salutation de Marie, son enfant tressaillit dans son sein, et elle fut remplie du Saint-Esprit.

V.42 Elle s’écria d’une voix forte : Tu es bénie d’entre toutes les femmes et le fruit de ton sein est bénie.

43 Coment m’est-il accordé que la mère de mon Seigneur vienne auprès de moi ?

v. 44 Car voici, aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mon oreille, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein. “

La Bible, Parole de Dieu, considérait d’ores et déjà Jésus et son cousin Jean Baptiste comme étant des personnes à part entière. Et bien qu’encore dans le ventre de sa mère, Jésus est déjà appelé un enfant, et Marie, bien que n’ayant pas accouché de lui, est déjà appelé “mère”. Le croyant peut aussi constater que Dieu n’a pas attendu leurs naissances pour oindre ces deux enfants avec le Saint-Esprit. (Note : Ne pas confondre l’onction du Saint-Esprit avec le baptême du Saint-Esprit, que Jésus reçut plus tard et dont on n’a pas de preuve que Jean l’ait jamais reçu.)

Ce simple texte est bien connu de plusieurs. Pourtant, peu semblent réaliser qu’il démontre clairement que Dieu considère l’enfant comme un être humain dès le ventre maternel, et non pas après sa naissance seulement. De même on lit clairement que les premières constatations et réjouissances de la présence du Sauveur sur la terre n’ont pas eu lieu seulement le jour de sa naissance, mais bien dès sa conception.

Joyeux Noël à tous  ! Stéphane Gagné
Réseau Chrétien de la Société Québécoise (RCSQ)

1 commentaire:

  1. Ah oui, l'avortement est un vrai crime car, dans le fœtus qui renferme la vie humaine, il y a la présence du sang humain. Et dans le sang humain, il y a l'âme de chaque individu.
    L'église doit proscrire tout acte d'avortement

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