jeudi 29 décembre 2011

Le Pasteur Selvaraj Rajiah nous a quitté - Journal Chrétien

Le Pasteur Selvaraj Rajiah nous a quitté - Journal Chrétien
Le Pasteur Selvaraj Rajiah nous a quitté jeudi 29 décembre 2011, par Aloys Evina

RESEAU SOCIAL CHRETIEN FRANCOPHONE

C’est avec une profonde douleur que nous vous informons que le Pasteur Selvaraj Rajiah, Pasteur et Fondateur de Paris Centre Chrétien, Apôtre du monde et de l’Inde, est parti dans la présence du Seigneur le vendredi 23 Décembre 2011.

Le Pasteur Selvaraj Rajiah est parti dans la gloire en un clin d’œil, au cours d’une réunion de prière dans son église, selon sa volonté et son désir. Il était en bonne santé.

Homme de réveil et pionnier dans cette nation de France, le Pasteur Selvaraj est connu pour être un homme de Dieu oint, puissant, intègre et dévoué à l’œuvre de Dieu dans le monde entier.

Il est le Fondateur de Paris Centre Chrétien, une église dynamique, pleine de foi et d’amour ou des dizaines de milliers de vies ont été et sont continuellement bâties sur la Parole et radicalement changées par Jésus.
Invité sur les 5 continents, il a prêché et enseigné intensivement l’Evangile dans plus de 65 nations de par le monde.

Il a également été un missionnaire infatigable depuis son plus jeune âge qui a planté, soutenu financièrement et même bâti en dur plus de 350 églises à travers le monde, tenu des croisades d’évangélisation à ciel ouvert au cours desquelles des centaines de milliers ont donné leur vie à Christ.

Durant ses 40 années de ministère, le Pasteur Selvaraj Rajiah a formé et encouragé des milliers de dirigeants et pasteurs, construit et soutenu 5 orphelinats en Inde qui ont béni des centaines de vies d’enfants brisés. Il a également nourri les pauvres, soutenu les veuves et beaucoup d’autres œuvres en Asie et en Afrique.

Homme de foi et de conviction, il a conduit le peuple de Dieu dans une nouvelle dimension de foi et de victoire.
Ni les épreuves, ni le succès ne l’ont jamais fait dévier de l’appel de Dieu dans sa vie.

Toute sa vie, il a fait preuve d’une détermination et d’une intégrité exceptionnelles pour l’avancement de l’Evangile.

L’homme s’ est éteint mais pas son œuvre. Le flambeau est repris par son épouse le pasteur Dorothée Rajiah avec la même force, la même détermination et la même intégrité.

mercredi 28 décembre 2011

Noël : Quand s'en est-on réjouis pour la première fois ? - Journal Chrétien

Noël : Quand s'en est-on réjouis pour la première fois ? - Journal Chrétien
Noël : Quand s’en est-on réjouis pour la première fois ?

Noël VS l’Avortement.

mardi 27 décembre 2011, par Stéphane Ggné

RESEAU SOCIAL CHRETIEN FRANCOPHONE

Voir en ligne : Réseau Chrétien de la Société Québécoise.

La vision chrétienne de Noël nous rappelle pourquoi les chrétiens considèrent l’avortement comme un meurtre. Noël, la commémoration de la naissance du Sauveur du monde est en effet la plus belle nouvelle qui soit : Dieu le Père nous a donné son fils, le sauveur qu’il avait promis. Mais quand exactement ce don a-t-il été célébré pour la toute première fois  ?

L’évangile de Luc nous raconte qu’au jour de la naissance de Jésus, un ange apparut à des bergers de la contrée de Bethléhem et leur a dit : « Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.

Et voici à quel signe vous le reconnaitrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche. » (Luc 2:10 -12).

Cependant il est intéressant de constater que le chapitre précédent de l’évangile de Luc montre clairement que dès sa conception, alors qu’il était encore dans le sein maternel, Jésus était déjà le Sauveur oint de Dieu, auquel réagit Jean (Baptiste) alors que ce dernier était lui aussi dans le ventre de sa propre mère, et qu’il tressaillit d’allégresse dans la présence de Jésus. Celui qui plus tard sera appelé Jean le Baptiste fut en quelque sorte le premier à se réjouir de la présence du fils de Dieu déjà arrivé sur terre, bien que n’étant pas encore passé par l’accouchement. À partir du verset 41 du premier chapitre du livre de Luc, on lit au sujet d’Élizabeth, la mère de Jean : « Dès qu’Élizabeth entendit la salutation de Marie, son enfant tressaillit dans son sein, et elle fut remplie du Saint-Esprit.

V.42 Elle s’écria d’une voix forte : Tu es bénie d’entre toutes les femmes et le fruit de ton sein est bénie.

43 Coment m’est-il accordé que la mère de mon Seigneur vienne auprès de moi ?

v. 44 Car voici, aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mon oreille, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein. “

La Bible, Parole de Dieu, considérait d’ores et déjà Jésus et son cousin Jean Baptiste comme étant des personnes à part entière. Et bien qu’encore dans le ventre de sa mère, Jésus est déjà appelé un enfant, et Marie, bien que n’ayant pas accouché de lui, est déjà appelé “mère”. Le croyant peut aussi constater que Dieu n’a pas attendu leurs naissances pour oindre ces deux enfants avec le Saint-Esprit. (Note : Ne pas confondre l’onction du Saint-Esprit avec le baptême du Saint-Esprit, que Jésus reçut plus tard et dont on n’a pas de preuve que Jean l’ait jamais reçu.)

Ce simple texte est bien connu de plusieurs. Pourtant, peu semblent réaliser qu’il démontre clairement que Dieu considère l’enfant comme un être humain dès le ventre maternel, et non pas après sa naissance seulement. De même on lit clairement que les premières constatations et réjouissances de la présence du Sauveur sur la terre n’ont pas eu lieu seulement le jour de sa naissance, mais bien dès sa conception.

Joyeux Noël à tous  ! Stéphane Gagné
Réseau Chrétien de la Société Québécoise (RCSQ)

mercredi 21 décembre 2011

Une demande de prière du Top Chrétien - CHRETIENS EN RESEAU

Une demande de prière du Top Chrétien - CHRETIENS EN RESEAU

Nous bénissons Dieu pour son serviteur Eric Célérier par qui de milliers d'âmes ont été amenées à Christ.

Notre prière est que les anges l'accompagnent dans cette épreuve afin qu'il s'en sorte vainqueur.

Il est difficile de séparer l'évangile de l'humanité, et davantage nous nous rendons bien compte que l'évangile n'est pas désincarné. Nous devons tenir et rester attacher à la vérité.

Si hier Christ a menacé Hérode, le chrétien ne doit pas se taire face à la persécution et à la violation des droits de l'homme.